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Qu’est ce que la cuisson à la vapeur douce ?


Présentation

Tout le monde a appris que l’eau bout à 100 degrés dans les conditions atmosphériques normales. C’est seulement à cette température qu’on obtient un dégagement de vapeur. La pression de la température dépend du diamètre des trous du tamis, de leur nombre et leur répartition, et du poids du couvercle.

Comment choisir son cuit-vapeur?

Le marché regorge de cuits-vapeur de toutes sortes : électriques ou non, à un ou plusieurs étages, en inox, en plastique, en aluminium... Lequel choisir ? Voici les caractéristiques de l’ustensile idéal, celui qui produit de la chaleur à 95°C.

Le couvercle : Si la casserole n’est pas couverte, la vapeur va se refroidir en se dissipant. Au contraire, avec un couvercle (sans trous) elle conserve un volume constant qu’on peut utiliser pour cuire des aliments. Mais encore faut-il que la forme du couvercle soit adaptée : s’il est plat ou un peu bombé, l’eau de condensation retombera directement sur les aliments et les « délavera ». Au contraire, s’il est en forme de dôme, la vapeur glissera sur ses parois sans toucher les aliments. De plus, si le couvercle n’est pas trop lourd, le surplus de vapeur s’en échappera librement, permettant au contenu de s’harmoniser avec la « courbe de rosée » (pression atmosphérique).


Le tamis : Ses trous ne doivent être ni trop petits, ni trop gros : plus ils sont petits, plus il y a de pression et plus ils sont gros, moins il y en a. Or, pression et température sont directement liées… L’idéal est un tamis possédant des trous de 6 mm également répartis. Un seul tamis est suffisant : si le récipient a plusieurs étages, les toxines de l’aliment du dessus, tombent sur celui du dessous, qu’elles imprègnent sur le plan gustatif et polluent.


Le corps du récipient : il doit être en inox 18/10, le seul métal stable et inaltérable. Il doit être assez haut pour ne pas ajouter d’eau en cours de cuisson, car lorsqu’on rajoute de l’eau, la température baisse puis remonte ce qui tue les enzymes et altère le goût.

Les bienfaits de la cuisson à la vapeur douce ne se font pas attendre pour tous ceux qui veulent maigrir sans se priver, mais aussi pour ceux qui surveillent leur cholestérol ou encore ceux qui veulent offrir à leurs enfants une alimentation saine, sans carence et très savoureuse.

Extrait du livre de Marion Kaplan Nutrition Consciente, aux éditions Grancher.


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Qui est Marion Kaplan?

Marion Kaplan, bio-nutritionniste, élève du docteur Kousmine, a conçu il y a 30 ans avec André Cocard, ingénieur chimiste, Le Vitaliseur de Marion. Elle est également l’auteure d’une vingtaine d’ouvrages sur le thème de la santé.
« Ce n’est pas parce qu’on digère un aliment, qu’on le tolère. Tout le monde ne peut pas manger la même chose ».

Tout au long de son parcours, Marion Kaplan a écrit de nombreux ouvrages sur l’alimentation et la santé. Elle a été préfacée par le Pr Henri Joyeux de l’Institut du Cancer et de la Faculté de médecine de Montpellier.

Le Vitaliseur

Le Vitaliseur préserve les nutriments (vitamines, minéraux, enzymes) et épure une large part de toxines. S’adaptant à toutes les plaques de cuisson, il cuit rapidement, et ce, dans le respect des aliments, s’engageant à conserver le goût originel et invitant à retrouver des saveurs oubliées. Le Vitaliseur de Marion fête ses 30 ans cette année...

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